Thursday, January 17, 2013

Αλγερία: Στο αίμα πνίγεται η ομηρεία στη μονάδα φυσικού αερίου

Νεκροί 35 όμηροι και 14 ένοπλοι από αεροπορική επιδρομή - Περί τους 55 δραπέτευσαν.
Τουλάχιστον 35 όμηροι και 14 ένοπλοι σκοτώθηκαν σε αεροπορική επιδρομή των αλγερινών δυνάμεων στη μονάδα φυσικού αερίου στην Αλγερία όπου κρατούνται όμηροι από ισλαμιστές ενόπλους, αναφέρει το ειδησεογραφικό πρακτορείο της Μαυριτανίας, επικαλούμενο έναν από τους ενόπλους.
Μεταξύ των ομήρων είναι αμερικανοί, ευρωπαίοι και ιάπωνες πολίτες σε αντίποινα για τις γαλλικές επιχειρήσεις στο Μάλι, το δε Αλγέρι υποστηρίζει ότι οι ένοπλοι θέλουν να φύγουν από τη χώρα, παίρνοντας μαζί τους και τους ομήρους....



Κάτοικοι της περιοχής κάνουν λόγο για πολλούς νεκρούς.

Οι ένοπλοι προειδοποίησαν πως θα σκοτώσουν τους υπόλοιπους ομήρους εάν πλησιάσει ο στρατός.

«Σε εξέλιξη στρατιωτική επιχείρηση» λέει το βρετανικό Φόρεϊν Οφις. Νωρίτερα, είχε ανακοινωθεί ότι τουλάχιστον 30 Αλγερινοί και 25 ξένοι υπήκοοι κατάφεραν να διαφύγουν.
Η μονάδα έχει περικυκλωθεί από τις αλγερινές δυνάμεις ενώ η υπόθεση, που εκτυλίσσεται στην άκρη της αλγερινής ερήμου, έχει σχεδόν εξελιχθεί σε μικρογραφία διεθνούς σύρραξης.

Οι δράστες της επίθεσης και της ομηρείας είχαν ανακοινώσει ότι κρατούν 41 ξένους ομήρους στις εγκαταστάσεις και αξιώνουν να σταματήσει η Γαλλία τη στρατιωτική της εκστρατεία κατά των ισλαμιστών ανταρτών στο γειτονικό Μάλι.

Yπενθυμίζεται ότι ισλαμιστές ένοπλοι επιτέθηκαν στη μονάδα την Τετάρτη, σκοτώνοντας έναν Βρετανό και έναν Αλγερινό, πριν «ταμπουρωθούν» στο συγκρότημα παίρνοντας ομήρους τους εργαζομένους.

tovima gr
17/1/13
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ΣΧΕΤΙΚΑ:

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En direct - Otages : assaut meurtrier de l'armée algérienne


L'essentiel
L'armée algérienne a lancé des hélicoptères à l'assaut du site de la prise d'otage, selon l'agence mauritanienne de presse Ani, qui cite des sources au sein des islamistes ayant attaqué mercredi une usine gazière de BP en Algérie, faisant captifs une quarantaine d'expatriés.
Les assaillants seraient les combattants du groupe Al-Moulathamin, mené par le djihadiste Mokhtar Belmokhtar, un ancien chef historique d'Al-Qaeda au Maghreb islamique. Ils réclament l'arrêt de l'opération engagée par l'armée française au Mali.

15h40. Sept otages occidentaux, dont deux Américains, sont toujours en vie après la mort de dizaines d’autres otages, tués dans un raid de l’armée algérienne, annonce un porte-parole du groupe auteur du rapt à l’agence ANI. «Trois Belges, deux Américains, un Japonais et un Britannique ont survécu au raid des avions algériens contre leur lieu de détention», a déclaré le porte-parole, qui a appelé les responsables du complexe pétrolier à «secourir les otages blessés».
15h30. Paris confirme qu'une opération est en cours, selon une source gouvernementale française, qui ajoute que Paris «se tient informé» de la situation.
14h55. Trente-quatre des otages et quinze de leurs ravisseurs ont été tués par l’armée algérienne, affirme un porte-parole du groupe auteur du rapt à l’agence mauritanienne ANI. «Trente-quatre otages et quinze des ravisseurs ont été tués dans un raid (aérien) de l’armée algérienne», a déclaré le porte-parole, selon qui le chef du groupe islamiste responsable de la prise d’otage, un certain Abou Al-Baraa, figure parmi les tués.
L'agence britannique Reuters évoque quant à elle un bilan de six tués parmi les otages étrangers et de huit morts parmi les islamistes.
14h30. Le Premier ministre britannique, David Cameron, a présidé ce jeudi une réunion de crise sur la prise d’otages et s’est entretenu mercredi et jeudi avec son homologue algérien, Abdelmalek Sellal, selon Downing Street. Il «a clairement dit qu’il étudierait toute demande d’aide» de la part d’Alger, a déclaré le porte-parole de Cameron, ajoutant qu’aucune demande en ce sens n’avait cependant été formulée jusqu'à présent.
David Cameron a aussi discuté au téléphone mercredi avec son homologue norvégien, Jens Stoltenberg, et jeudi avec le Premier ministre japonais, Shinzo Abe, dont les pays ont des otages en Algérie. Ils «ont convenu que la bonne approche consistait à travailler avec le gouvernement algérien et les entreprises, dont BP, impliquées sur le site gazier».
14h20. Plusieurs otages et ravisseurs islamistes ont été tués par l’armée algérienne, affirme un porte-parole islamiste cité par l’agence mauritanienne en ligne Nouakchott information (ANI). Selon ce porte-parole qui dit parler depuis le site gazier, les ravisseurs essayaient «de transporter une partie des otages vers un lieu plus sûr à bord de véhicules» quand l’armée algérienne est intervenue par voie aérienne, «tuant en même temps otages et ravisseurs», sans en préciser le nombre.
13h15. François Hollande confirme la présence de Français sur le site gazier, mais se refuse à plus de détails. Devant une «situation confuse» qui évolue «d’heure en heure», le chef de l’Etat n’a pas voulu donner de précisions mais a indiqué avoir «à l’esprit la vie de nos ressortissants». «Il y en avait, il y en a sur ce site», a-t-il ajouté lors d’une conférence de presse avec le Premier ministre portugais.
12h55. L'armée algérienne bombarderait le site à partir d'hélicoptères selon l'agence mauritanienne Ani. Deux otages japonais seraient blessés. 
12h50. Un porte-parole du Premier ministre britannique indique que l'attaque du site gazier montre des signes d'un «considérable degré de préparation», alors que les membres du groupe avaient dit avoir agi en représailles de l'intervention de la France au Mali.
12h30. «Nous sommes bien traités», assure un otage français en Algérie,à Sud Ouest.  Cet homme de 52 ans, originaire d’Anglet (Pyrénées-Atlantiques), travaillant pour CIS Catering, entreprise assurant l’hôtellerie du site gazier, a été joint par téléphone par un journaliste du quotidien. Il  a indiqué au journal que l’attaque s'était produite mercredi vers 5h40 du matin. Les assaillants, a-t-il ajouté, «ont investi la base après un échange de tirs avec les agents de sécurité». D’après le journal, outre la quarantaine d’occidentaux retenus, des dizaines d’autres, locaux, sont également otages. A Paris, la porte-parole du gouvernement a déclaré jeudi matin que la France n'était «pas en mesure» de confirmer la présence de Français parmi les otages. Les ravisseurs liés au réseau Al-Qaïda réclament l’arrêt de l’intervention militaire française au Mali voisin.
Le Premier ministre français Jean-Marc Ayrault à l'Assemblée, le 16 janvier 201312h10. Sur le perron de l'Elysée, Jean-Marc Ayrault (photo AFP) indique s’apprêter à faire le point avec le président François Hollande sur la «situation particulièrement préoccupante» en Algérie ou plusieurs dizaines d’otages sont aux mains d’islamistes. «Je vais faire le point à l’instant avec le président de la République, nous n’avons pas eu plus d’informations que nous n’en avons eues cette nuit».

12h00.
Avant la publication d'informations faisant état d'évasions d'otages, un Français de 52 ans figurant parmi les otages indique au quotidien Sud Ouest que les otages sont «bien traités», selon le journal. «Ca va, nous sommes bien traités», a déclaré par téléphone cet homme originaire d’Anglet (Pyrénées-Atlantiques) travaillant pour CIS Catering, entreprise assurant l’hôtellerie du site gazier où étaient encore retenus une quarantaine d’Occidentaux dans la matinée. Le journal évoque «34 otages de neuf nationalités» retenus sur la «base-vie» du site et «six autres dans l’usine de gaz».«Il y a la mobilisation qui se poursuit au Nord Mali, l’engagement de la France pour répondre» à la demande d’assistance militaire malienne «et ce qui s’est passé en Algérie et a donné lieu à deux échanges téléphoniques hier soir que j’ai eus personnellement avec le Premier ministre algérien» Abdelmalek Sellal, a-t-il enchaîné. «Nous allons refaire ce matin un point précis de cette situation particulièrement préoccupante qui confirme que la bataille contre les groupes terroristes, qu’ils soient au Nord Mali ou en Algérie est une bataille qui mobilise non seulement la France mais la communauté internationale.»

11h50. Quinze étrangers, dont un couple de Français, qui étaient retenus en otages par des islamistes sur un site gazier en Algérie, auraient réussi à s'échapper, selon la chaîne privée algérienne Ennahar citant une «source officielle»«Quinze étrangers dont un couple de français ont échappé à leurs ravisseurs», a rapporté la télévision. Le patron de la chaîne, Anis Rahmani, a indiqué à l’AFP qu’elle citait une «source officielle». L’ambassade de France s’est refusée à confirmer.
11h20. Trente otages algériens ont réussi à s'échapper du site gazier en Algérie où ils étaient retenus en otage, a annoncé la Wilaya (préfecture) d’Illizi. «Trente travailleurs algériens sont parvenus à s’échapper jeudi du site gazier de Tinguentourine (40 km d’In Amenas), où ils étaient retenus en otage depuis mercredi par un groupe terroriste armé» a indiqué cette source, citée par l’agence de presse APS.
(FILES) This picture taken on March 14, 2012 shows former French Defense Minister Gerard Longuet  leaving the Elysee palace after the weekly cabinet meeting in Paris. Gerard Longuet, an UMP senator and former defence minister under Nicolas Sarkozy, "gave the arm" ("bras d'honneur) in an obscene gesture while answering a question by Algerian minister of the Moudjahidines (indepedence fighters) on the acknowledgement of crimes committed against them during the French colonisation of the country. The gesture w10h15. L’ancien ministre de la Défense Gérard Longuet (Photo AFP) juge qu’il n’y a pas de lien entre la prise d’otages en Algérie et l’offensive lancée par la France au Mali. La prise d’otages sur un site gazier du centre-est de l’Algérie n’est «pas du tout» la conséquence directe de l’action engagée vendredi par Paris contre les islamistes au Mali, assure-t-il sur LCI.
«Cette prise d’otages demande une préparation. Très clairement, il a fallu plusieurs semaines pour acheminer des moyens, des hommes», il a fallu «des repérages». L’action française a peut-être été «un déclencheur», a poursuivi Gérard Longuet, mais «on ne peut pas imaginer qu’en moins d’une semaine, une telle prise d’otages ait pu être conçue par une filiale d’al-Qaeda ou Aqmi»«En tout état de cause, c’est un objectif qui avait été préparé». Le but de cette action, selon l’ancien ministre, c’est de «montrer qu’ils sont présents partout, que la zone sahélienne, de la Mer rouge à l’Atlantique, est sous leur influence» et «afficher une capacité à déstabiliser tous les régimes, y compris le régime algérien».
9h40. Un Britannique, un Irlandais et un Japonais, présentés comme des otages en Algérie, se sont relayés jeudi sur la chaîne de télévision Al-Jazira pour réclamer le retrait des militaires algériens qui encerclent le site gazier où ils sont détenus. Les trois hommes, qui se sont exprimés au téléphone et dont aucune image n’a été montrée, insistent tour à tour pour que les militaires cessent les tirs contre leur lieu de détention pour préserver leur vie et favoriser la négociation. Les propos des otages étaient traduits simultanément en arabe par la télévision satellitaire du Qatar. «Nous demandons le retrait de l’armée algérienne pour permettre de lancer des négociations» sur les otages, a dit Abou al-Baraa.
9h20. Les preneurs d’otages veulent le retrait de l’armée algérienne qui encercle le complexe pour permettre des négociations, affirme jeudi l’un d’eux sur la chaîne de télévision satellitaire du Qatar Al-Jazira. «Nous demandons le retrait de l’armée algérienne pour permettre de lancer des négociations» sur les otages, a déclaré ce ravisseur qui s’est présenté sous le pseudonyme d’Abou al-Baraa.
Il a ajouté que l’armée algérienne avait tiré en direction du site, blessant un otage japonais. Abou al-Baraa a assuré que le nombre des otages «tourne autour de 41» et appartenaient à une dizaine de pays : Norvège, France, Etats-Unis, Grande-Bretagne, Roumanie, Colombie, Thaïlande, Philippines, Irlande, Japon et Allemagne.
8h30. «Nous n’avons pas confirmation» de la présence de Français parmi les otages en Algérie, déclare la porte-parole du gouvernement, Najat Vallaud-Belkacem, interrogée par Radio Classique et Public Sénat. «Nous ne sommes pas en mesure, à l’heure où je vous parle, de confirmer la présence de Français parmi les otages» du site gazier algérien. Plaidant pour «une parole publique parcimonieuse» dans ces affaires, elle a ensuite répété : «nous n’avons pas confirmation de la présence de Français».

8 heures. Les forces de l’ordre encerclent le site gazier du centre-est de l’Algérie, où un groupe islamiste lié au réseau Al-Qaeda détient une quarantaine d’otages étrangers et réclame l’arrêt de l’intervention militaire française au Mali voisin. Des citoyens des Etats-Unis, du Japon, de France et de Grande-Bretagne figurent notamment parmi les otages, selon les ravisseurs. Des Asiatiques en font également partie, selon l’un des otages cité par la télévision France 24.
Le ministre algérien de l’Intérieur, Dahou Ould Kablia, a exclu toute négociation avec les ravisseurs, après avoir annoncé que l’attaque mercredi, suivie de la prise d’otages, avait fait deux morts : un Britannique et un Algérien. Les autorités «ne répondront pas aux revendications des terroristes et refusent toute négociation», a-t-il dit aussitôt après l’attaque qui a aussi fait selon lui, six blessés - deux Britanniques et un Norvégien, et trois membres de la sécurité algérienne.
La chaîne de télévision France 24 a indiqué avoir eu une conversation téléphonique avec un français retenu sur le site qui a assuré que des Malaisiens et des Philippins figuraient aussi parmi les otages. Un employé du site a indiqué par téléphone à l’AFP que «les ravisseurs réclament la libération de 100 terroristes détenus en Algérie». Les troupes françaises ont progressé mercredi vers le nord du Mali, avec des combats au sol qui constituent une nouvelle étape dans l’engagement militaire, après des raids aériens menés depuis le 11 janvier dans le centre et le nord du pays pour empêcher une avancée des islamistes vers la capitale, Bamako (sud).
.liberation.fr
17/1/13
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  • Geiselnahme endet im Blutbad

Bei der Geiselnahme in Algerien hat es ein Blutbad gegeben. Bei einem Angriff der Luftwaffe des Landes kamen dutzende Menschen ums Leben, darunter wohl auch viele ausländische Geiseln.


Bei einem Einsatz der algerischen Armee gegen islamistische Geiselnehmer sind offenbar fast 50 Menschen getötet worden, die meisten von ihnen Geiseln. Ein Sprecher der Geiselnehmer sagte der mauretanischen Informationswebseite ANI, 34 Geiseln und 15 Islamisten seien getötet worden. Die Islamisten hatten vor dem Hintergrund der Mali-Krise zahlreiche Menschen als Geiseln genommen, darunter viele westliche Ausländer.
Nach den Schilderungen des Sprechers der Geiselnehmer-Gruppierung erfolgte der Angriff der algerischen Streitkräfte am Donnerstagnachmittag mit Kampfhubschraubern. Die Situation auf dem Gasfeld in In Amenas im Osten Algeriens, das die Geiselnehmer am Mittwoch überfielen, war unübersichtlich.
Die Islamisten der Gruppe "Unterzeichner für Blut" hatten sich zu der Tat bekannt und ein Ende der französischen "Aggression" im Nachbarland Mali gefordert. Unter ihren Geiseln waren nach den bis Donnerstag vorliegenden Informationen Briten, Norweger und US-Bürger. Frankreichs Präsident François Hollande bestätigte, dass sich auch französische Staatsangehörige in der Anlage aufhielten. 
 http://www.n24.de/news/newsitem_8526685.html
17/1/13

 

 

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