Tuesday, August 13, 2013

Les indépendantistes catalans solidaires avec Gibraltar

Un parti indépendantiste catalan exprime sa solidarité avec les habitants de Gibraltar "persécutés" par l'Espagne, dans une lettre adressée au gouverneur du territoire britannique situé à la pointe sud de la péninsule ibérique.

Les tensions entre Londres et Madrid ont été récemment ravivées par la construction au large de Gibraltar d'un récif artificiel accusé de pénaliser les pêcheurs espagnols. L'Espagne a réagi en durcissant les contrôles aux frontières du territoire, incitant Londres à menacer de porter le différend sur le terrain juridique.



"VOTRE LIBERTÉ EST NOTRE LIBERTÉ"

Dans sa lettre au gouverneur de Gibraltar, Fabian Picardo, Alfred Bosch, député régional de l'ERC (Esquerra republicana de Catalunya), dit "sincèrement regretter la persécution et le harcèlement que le gouvernement espagnol fait subir aux citoyens que vous représentez de manière démocratique (...) afin de faire oublier ses scandales internes politiques et financiers".


L'ERC, classée à gauche, a doublé sa présence au Parlement catalan à la faveur des dernières élections régionales en novembre 2012, obtenant 14 % des suffrages. "Nous sommes convaincus que la seule solution de la question du Rocher, tout comme de la question de Catalogne, passe par le dialogue, le vote, et le principe d'autodétermination", ajoute Alfred Bosch en concluant : "Votre liberté est notre liberté".

GIBRALTAR DEMANDE UNE ENQUÊTE EUROPÉENNE SUR LES CONTRÔLES ESPAGNOLS

Le gouvernement de Gibraltar a demandé mardi une enquête de la Commission européenne sur "la manière dont l'Espagne agit" en multipliant les contrôles à la frontière avec le territoire britannique, à l'origine de longues files d'attente pour les automobilistes. "L'Espagne a de nouveau imposé aujourd'hui des contrôles disproportionnés pour les voitures qui entrent à Gibraltar, provoquant des files d'attente de plus de quatre heures", affirme Fabian Picardo.

Ces contrôles "menés sans préavis montrent une nouvelle fois la nécessité d'ouvrir rapidement une enquête de la part de la Commission européenne sur la manière dont agit l'Espagne et la nécessité de prendre rapidement des mesures légales là où elles sont nécessaires", ajoute le communiqué.

Mardi, des files d'attente de plusieurs kilomètres de long, selon des journalistes de l'AFP, se sont à nouveau formées à l'entrée du petit territoire, à la pointe sud de l'Espagne.

lemonde.fr
13/8/13
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2 comments:

  1. Una eurodiputada conservadora británica pide el boicot turístico a España...

    1. Julie Girling llama a los británicos a pasar las vacaciones en otro país
    2. 'Se ha hablado bastante, ahora hay que actuar', sostiene la parlamentaria
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    La eurodiputada conservadora británica Julie Girling viene defendiendo desde su página web el boicot turístico a España por la posición del Gobierno en relación con Gibraltar: "Se ha hablado bastante, ahora hay que actuar", sostiene la parlamentaria, que representa los intereses de los ciudadanos del suroeste de Inglaterra y del Peñón.

    Girling llama a sus compatriotas británicos a pasar las vacaciones en otro país en protesta por las medidas que viene llevando a cabo el Ejecutivo del PP en relación con Gibraltar, que tacha de "amenazas extravagantes". "España no está de nuestro lado", proclama.

    A su juicio, la Comisión Europea debería iniciar acciones legales contra el Gobierno español por propuestas que considera "agresivas", entre las que cita la posibilidad de aplicar una tasa de 50 euros por pasar de Gibraltar a España.

    Otro eurodiputado británico no identificado formó parte del grupo de personas que, según el Ministerio del Interior, estuvo grabando la semana pasada imágenes de policías y guardias civiles de la verja, lo que motivó una queja de España ante las autoridades británicas.
    http://www.elmundo.es/elmundo/2013/08/13/espana/1376415747.html
    13/8/13

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  2. "Fühlen uns an dunkelste Franco-Zeiten erinnert"...

    Während die britische Kriegsmarine Kurs auf Gibraltar nimmt, verschärft Spanien die Kontrollen an der Grenze. Auf Völkerrechtler könnte im Streit zwischen den beiden Ländern viel Arbeit zukommen.

    Im Konflikt um die britische Kronkolonie Gibraltar am Südzipfel Spaniens dürfen sich Völkerrechtler auf einträgliche Beschäftigung freuen. In London erwägen die Juristen der konservativ-liberalen Koalitionsregierung von Premierminister David Cameron eine offizielle Beschwerde bei der EU-Kommission und dem Europäischen Gerichtshof. Dadurch will Downing Street die "politisch motivierten und völlig unangemessenen Grenzkontrollen" beenden, mit denen Madrid seit zwei Wochen alle Grenzgänger schikaniert.

    Im spanischen Außenministerium ist hingegen von politischen Initiativen bei den UN sowie einer Klage vor dem Internationalen Gerichtshof in Den Haag die Rede, mit denen die lang ersehnte Souveränität über das Territorium erlangt werden soll.

    Verantwortlich dafür, dass Großbritannien heute Tausende Kilometer südlich von London ein Stückchen der Iberischen Halbinsel für sich behaupten kann, ist Sir George Rooke. Im Jahr 1704 eroberte der britische Admiral den strategisch so günstig gelegenen Felsen im spanischen Erbfolgekrieg. Seitdem zanken sich Spanien und Großbritannien um die gerade einmal 6,5 Quadratkilometer große Landzunge an einer der trostlosesten Stellen Spaniens, die als Tor nach Afrika und Einfahrt ins Mittelmeer eine nicht zu unterschätzende militärische Bedeutung hatte.

    Deshalb erzwangen die Briten 1713 im Vertrag von Utrecht seine Abtretung "für immer, ohne Ausnahme oder Einschränkung". Allerdings war damals nur von "Stadt und Burg, zusammen mit Hafen und Wehranlagen" die Rede. Weder spricht der Vertrag vom mittlerweile dem Mittelmeer abgerungenen Land, auf dem der Flughafen der Kolonie gebaut wurde, noch erwähnt er territoriale Gewässer.....http://www.welt.de/politik/ausland/article118984998/Fuehlen-uns-an-dunkelste-Franco-Zeiten-erinnert.html
    13/8/13

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