"In order to ensure that medium-term sustainability, there is a need for difficult decisions on both sides ... difficult decisions in Greece regarding reforms, and difficult decisions among Greece's European partners about debt relief," a senior IMF official said.
Speaking to journalists, the official said the IMF can only support a financial rescue programme "that is comprehensive." "One should not be under the illusion that one side of it can fix the problem," he said. "What is clear is that it will be some time before the two sides are ready to take these decisions."
The statement came as representatives of Greece's official creditors - the IMF, European Commission, European Central Bank, and the European Stability Mechanism - began meetings in Athens to prepare the proposed new €86 billion (US$94 billion) bailout programme for the country.
In the preliminary deal mapped out between the parties on July 13, the EU insisted that the IMF be part of any new programme, after two IMF-backed rescue operations since 2010 failed to restore the country's economy.
NO CHANGE IN POSITION
The IMF,
though, conditioned its participation on the EU and Greece creating the
conditions of debt "sustainability" - that Greece would be able to
return to economic growth and service its huge debt, currently about 170
per cent the size of its economy.The senior IMF official, speaking on condition of anonymity, reiterated that stance after a Financial Times report suggested the Fund was standing further back from a new rescue programme.
In an IMF executive board meeting that took place on Wednesday, IMF staff, according to the FT report, stressed that Athens needed more progress on reforms, and the country's European Union creditors needed more clear commitment on debt relief, before the Fund would be allowed under its own rules to join in.
But the official said on Thursday that it was already understood that detailed plans for debt relief would not come for some months under current arrangements, and so the IMF - though participating in the preparations - would not be able to commit to join in funding the new bailout until then....
AFP
channelnewsasia.com
30-31/7/15
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Grèce : le FMI pose ses conditions...
ReplyDeleteLe Fonds n’entend pas participer à ce stade au nouveau plan d’aide à Athènes sans engagements préalables du gouvernement grec et de ses créanciers européens.
Le conseil d’administration du Fonds monétaire international (FMI) refuse d’engager, dans l’immédiat, l’institution dans le troisième plan d’aide à la Grèce. C’est ce qu’a avancé, jeudi, le « Financial Times » sur son site web. Au vu d’un document « confidentiel » de quatre pages résumant leurs propos, les administrateurs estiment que le « FMI participerait aux discussions » pour s’assurer que le nouveau plan d’aide de la zone euro à la Grèce – 86 milliards d’euros – soit « en adéquation avec ce que le Fonds a en tête ». Mais d’ajouter qu’ « à ce stade » les conditions ne sont pas remplies pour un engagement immédiat du FMI lui-même.
Au préalable, un plan conclu entre la Grèce et les pays de la zone euro
Le FMI attend des actes concrets de la part des autorités grecques sur le plan des réformes structurelles ainsi qu’ un engagement des pays créanciers européens à restructurer la dette grecque. Ce qu’avait déjà confirmé Christine Lagarde . Elle avait indiqué que le nouveau programme, pour qu’il ait des chances de succès, devait comporter quatre composantes : des cibles budgétaires crédibles, des mesures structurelles, un financement suffisant et une restructuration de la dette . Jeudi, lors d’un briefing, un membre officiel du Fonds a confirmé que « l’institution entrerait lors de la deuxième phase du plan d’aide. Nous ne soumettrons au Conseil d’administration qu’un plan qui aura d’abord été conclu entre la Grèce et les pays de la zone euro. Tout en participant activement à l’élaboration de ce plan » a-t-il dit.
Douche froide pour l’Eurogroupe
Pour les ministres des Finances de la zone euro, c’est néanmoins une douche froide car Berlin n’a jamais caché sa volonté de voir le FMI s’engager dès le début du processus, tout en excluant une renégociation de la dette grecque. Selon le « Financial Times », l’administrateur allemand du Fonds a déclaré que Berlin « aurait préféré que le Fonds… évolue en parallèle » avec les discussions des pays de la zone euro. Une position en retrait du FMI compliquera la tâche du gouvernement allemand lorsque le plan d’aide sera soumis au vote du Bundestag . Pour l’heure, le bras de fer continue..............http://www.lesechos.fr/monde/europe/021238178937-grece-le-fmi-pose-ses-conditions-1141084.php?SV8cmLSJ16HlPGe2.99#xtor=RSS37