Friday, January 1, 2016

Hollande: France has not finished with terrorism yet

French President Francois Hollande said in his New Year's Eve address on Thursday night that the country "has not finished with terrorism yet."

Speaking six weeks after deadly attacks in Paris which killed 130 people, the president told his country via radio and television that the threat of another attack "remains at its highest level."

"The threat is still there ... It remains in fact at its highest level, and we are regularly disrupting planned attacks," said the president.

Besides the Nov. 13 attack, the year of 2015 began with the January attacks against the satirical magazine Charlie Hebdo and a kosher supermarket.

"We just lived a terrible year," added Hollande, who expressed compassion and affection "to the victims of the terrorist attacks in January and November."

"These tragedies remain engraved in all our memories. They will never fade, "said Hollande.

"But despite the drama, France did not give in. Despite the tears, we stood up. Faced with hatred, the countrymen showed their strength of the French values."

"2015 has been a year of suffering and resistance, let's make from 2016 a year of courage and hope," he said.

 Xinhua -china.org.cn
1/1/16
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1 comment:

  1. Hollande aux Français: "nous n'en avons pas terminé avec le terrorisme", "la vérité", c'est que "la menace est toujours là"...

    "La France n'en a pas terminé avec le terrorisme", a mis en garde le président François Hollande dans ses voeux radio-télévisés aux Français, estimant que "la menace est toujours là" et "reste même à son plus haut niveau".

    Des attentats de janvier (17 morts) à ceux de novembre (130 morts), "nous venons de vivre une année terrible", a déclaré François Hollande. "Malgré le drame, la France n'a pas cédé. Malgré les larmes, elle s'est tenue debout", a-t-il toutefois jugé, en louant "la force de ses valeurs". Pour agir "à la racine du mal", la France continuera ses frappes contre le groupe Etat islamique (EI) en Irak et en Syrie, a déclaré le chef de l'Etat.

    "Les coups portent, les djihadistes reculent, alors nous continuerons autant que nécessaire", a-t-il dit. Sur le plan intérieur, le président socialiste a appelé le Parlement à "prendre ses responsabilités" en adoptant une réforme de la Constitution qu'il a proposée pour "donner un fondement incontestable" à l'état d'urgence et pour pouvoir déchoir de leur nationalité française des binationaux condamnés pour terrorisme. Cette dernière mesure, plébiscitée par les Français, suscite d'importants remous dans les rangs de la majorité de gauche. "Le débat est légitime. Je le respecte", mais "quand il s'agit de votre protection, la France ne doit pas se désunir", a rétorqué François Hollande. "En 2016, nous lutterons contre le terrorisme. Oui sûrement, intensément. Mais aussi contre tout ce qui fracture notre société et qui nourrit autant le repli que l'exclusion", a-t-il poursuivi, en évoquant "un état d'urgence économique et social".
    rtl.be
    1/1/16

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