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Some 100,000 Ukrainians chanting "Revolution!" swarmed a central Kiev square Dec. 1 in a mass call for early elections meant to punish President Viktor Yanukovych for rejecting a historic EU pact.The crowd, with many waving the gold-and-blue flag of the European Union, took control of Kiev's iconic Independence Square and steered a bulldozer within striking distance of metal police barricades protecting the presidential adminstration building on a nearby sidestreet.
Footage broadcast by a private Ukraine television station also showed a few dozen people breaking into an empty Kiev city hall building and reading speeches demanding an immediate break in relations with Russia.
"The government and president must resign," world boxing champion turned opposition leader Vitali Klitschko said to loud cheers and cries of "Yes!" "A revolution is starting in Ukraine," added nationalist opposition leader Oleh Tyagnybok.
"We are now launching a national strike," he said in dramatic scenes aired live on television stations in both Ukraine and Russia.
The ex-Soviet nation of 46 million was thrown into its deepest crisis since the 2004 pro-democracy Orange Revolution when Yanukovych snubbed EU leaders at a Vilnius summit on Friday and opted to keep Ukraine aligned with its former master Russia.
The government's decision -- first announced a week before the EU meeting -- sparked mass demonstrations that turned violent in the early hours of Saturday when hundreds of rubber baton-wielding police drove about 1,000 protesters from Kiev's focal Independence Square. A few hundred of them spent the night at the nearby Mikhailovsky Monastery, burning wood in metal barrels to ward off the freezing temperature and receiving food from the monastery's monks.
The protesters vowed to form a "national resistance task force" and called for early elections as well daily rallies aimed at blocking the entrance to the Ukrainian government seat.
Sunday's demonstration was held in defiance of a sudden ban imposed late Saturday by Kiev's main administrative court on all protests on the square and its surrounding streets until January 7.
But dozens of police officers quickly gave way when the crowd overwhelmed the area and knocked down metal barriers surrounding a huge Christmas tree that authorities had put up.
AFP reporters estimated the size of Sunday's crowd at about 100,000 people while some protest leaders and Ukrainian media put the figure even higher.
There was no immediate official police estimate.
Saturday's police crackdown sparked a new round of Western condemnation of the Ukrainian government but was met with notable silence by Russian President Vladimir Putin's Kremlin.
US State Department spokeswoman Jen Psaki called on Kiev authorities to respect Ukrainians' right to free expression and assembly, which are "fundamental to a healthy democracy".
German Foreign Minister Guido Westerwelle also issued a strongly-worded statement saying: "I vigorously call on the Ukrainian government to ensure freedom of assembly." Ukraine's leaders appeared to be taking steps to distance themselves from the violence by announcing a formal probe to identify and punish those responsible for sparking Saturday's unrest in which more than 30 people were hurt.
Kiev's police chief submitted his resignation at a Sunday meeting during which Interior Minister Vitaliy Zakharchenko vowed to make sure his force acted with "tolerance".
Yanukovych added in televised comments aimed directly at the opposition that Ukraine had already chosen its "historic path" by committing itself to closer EU relations.
Yet he also stressed that these closer ties with the 28-nation bloc would come only when Ukraine was treated as "an equal partner that is respected and whose wishes are taken into account." Kiev's nuanced approach in which it seeks favour from both Moscow and Brussels was underscored yet again Sunday when the government said Yanukovych would soon travel to Russia to sign a new "cooperation roadmap".
Jailed former prime minister Yulia Tymoshenko -- a top Yanukovych rival whose release was a condition for signing the EU deal -- called on Ukrainians to press ahead with their fight.
The opposition has drawn up a list of demands that includes the immediate ouster of both Yanukovych and his government as well as early elections.
The Ukrainian parliament's opposition leader Arseniy Yatsenyuk urged supporters to blockade the Ukrainian government building when it resumes work on Monday.
The new "national resistance task force" meanwhile was aimed at organising an indefinite nationwide strike.
http://www.hurriyetdailynews.com/tens-of-thousands-rally-over-ukranian-leaders-eu-snub.aspx?pageID=238&nID=58804&NewsCatID=353
1/12/13
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Στρατεύματα του Υπουργείου Εσωτερικών της Ουκρανίας σε πολεμική ετοιμότητα. - Νέα συγκέντρωση διαδηλωτών στο Κίεβο.
Τιμοσένκο: «Ξεσηκωθείτε κατά της δικτατορίας Γιανουκόβιτς»...
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------------------------------ Ukraine : les manifestants proeuropéens occupent la mairie de Kiev
Malgré la menace d'une violente répression, des dizaines de milliers de manifestants défient le pouvoir dans le centre de la capitale et veulent le départ du président Ianoukovitch.
Les partisans du rapprochement entre l'Ukraine et
l'Union européenne sont à nouveau descendus dans les rues de Kiev ce
dimanche, bravant l'interdiction des autorités de défiler sur la place
de l'Indépendance. Après s'être rassemblés près d'un parc du
centre-ville, plus de 100.000 manifestants se sont dirigés en colonne
vers le centre, brandissant drapeaux ukrainiens et européens et scandant
des slogans hostiles au président Viktor Ianoukovitch.
Ce dernier a refusé de signer un accord d'association avec l'Union européenne, provoquant la stupeur de Bruxelles, mais aussi de nombreux Ukrainiens qui organisent depuis chaque jour des manifestations. Les négociations de cet accord avaient pris plusieurs années.
Devant la foule, le chef de file de l'opposition, Vitali Klitchko, a réclamé la démission du président. «Ils ont volé notre rêve. Si ce gouvernement ne veut pas accomplir la volonté du peuple, alors ce gouvernement n'a plus de raison d'être, de même que ce président! Il y aura un nouveau gouvernement et un nouveau chef de l'Etat», a-t-il affirmé. L'opposant nationaliste Oleh Tyahniboh affirme, lui, que ses partisans occupent l'hôtel de ville de Kiev.
La police tente de disperser les manifestants qui se sont regroupés près du palais présidentiel à coup de gaz lacrymogènes. Des opposants ont utilisé un tracteur pour tenter de se frayer un passage au travers des barrages de sécurité protégeant les accès au palais. Des affrontements ont fait plusieurs blessés des deux côtés. En fin d'après-midi, la police reconnaissait que la mairie de Kiev était aux mains de manifestants.
À Paris, le mouvement Femen, originaire d'Ukraine, a organisé une action devant l'ambassade du pays. Cinq militantes, dont la leader Inna Shevchenko, ont uriné sur une photo du président Ianoukovitch, le torse recouvert de l'inscription «Yanukovych piss off!» («Ianoukovitch, dégage!»). «Nous sommes venues pour dire à l'Europe que nous avons besoin d'aide», a expliqué Inna Shevchenko. Pour l'Ukraine, «ça n'est pas seulement un moment difficile, c'est un aussi un moment dangereux».
Ce dernier a refusé de signer un accord d'association avec l'Union européenne, provoquant la stupeur de Bruxelles, mais aussi de nombreux Ukrainiens qui organisent depuis chaque jour des manifestations. Les négociations de cet accord avaient pris plusieurs années.
Devant la foule, le chef de file de l'opposition, Vitali Klitchko, a réclamé la démission du président. «Ils ont volé notre rêve. Si ce gouvernement ne veut pas accomplir la volonté du peuple, alors ce gouvernement n'a plus de raison d'être, de même que ce président! Il y aura un nouveau gouvernement et un nouveau chef de l'Etat», a-t-il affirmé. L'opposant nationaliste Oleh Tyahniboh affirme, lui, que ses partisans occupent l'hôtel de ville de Kiev.
La police tente de disperser les manifestants qui se sont regroupés près du palais présidentiel à coup de gaz lacrymogènes. Des opposants ont utilisé un tracteur pour tenter de se frayer un passage au travers des barrages de sécurité protégeant les accès au palais. Des affrontements ont fait plusieurs blessés des deux côtés. En fin d'après-midi, la police reconnaissait que la mairie de Kiev était aux mains de manifestants.
Action des Femen à Paris
Samedi matin, les forces de police ont violemment dispersé un rassemblement d'un millier de personnes, place de l'Indépendance, à Kiev, symbole de la révolution orange de 2004. De nombreux manifestants ont été blessés. En réaction, l'opposition ukrainienne a appelé à la grève générale et demande le départ du président Ianoukovitch, ainsi que l'organisation de nouvelles élections présidentielles.À Paris, le mouvement Femen, originaire d'Ukraine, a organisé une action devant l'ambassade du pays. Cinq militantes, dont la leader Inna Shevchenko, ont uriné sur une photo du président Ianoukovitch, le torse recouvert de l'inscription «Yanukovych piss off!» («Ianoukovitch, dégage!»). «Nous sommes venues pour dire à l'Europe que nous avons besoin d'aide», a expliqué Inna Shevchenko. Pour l'Ukraine, «ça n'est pas seulement un moment difficile, c'est un aussi un moment dangereux».
http://www.lefigaro.fr/international/2013/12/01/01003-20131201ARTFIG00062-ukraine-des-milliers-de-pro-europeens-defient-le-pouvoir-a-kiev.php
1/12/13
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GR
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DE
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IT
RU
EU
La violencia se dispara en la marcha de los opositores proeuropeos en Kiev....
ReplyDeleteUn grupo de radicales encapuchados ocupa el Ayuntamiento mientras ante la sede de la presidencia tiene lugar una batalla campal entre fuerzas del orden y manifestantes.
Una verdadera marea humana formada por centenares de miles de personas ha salido a la calle este domingo en Kiev para pedir el cese del presidente Víctor Yanukóvich y el Gobierno de Mikola Azárov, la tarea que figura en primer lugar en la lista de prioridades de la multitud que presiona por la integración europea de Ucrania en la plaza de la Independencia de la capital, un lugar simbólico que fue en 2004 el escenario pacífico de la Revolución Naranja.
Ni las autoridades ni los líderes de la oposición garantizan el orden en la ciudad que depende del sentido común y la racionalidad tanto de los manifestantes como de la policía. A la hora de escribir estas líneas ante la sede de la presidencia tenía lugar una verdadera batalla campal entre fuerzas del orden y manifestantes. Al menos cien policías han resultado heridos en los choques. El jefe de policía de Kiev ha dimitido por "el excesivo uso de la fuerza".
La alcaldía de Kiev había prohibido concentrarse en la plaza de la Independencia y organizar manifestaciones en el centro, pero esta prohibición se convirtió en papel mojado ante la riada humana en la que los residentes en la capital se mezclaban con la numerosa gente venida de provincias. Los manifestantes acabaron ocupando el gigantesco árbol de Navidad que fue emplazado ahí tras la carga policial en la madrugada del sábado. Sobre la multitud ondeaban las banderas de los partidos de la oposición, “Patria”, el partido de la encarcelada ex primera ministra Yulia Timoshenko, UDAR, el partido de Vitali Klichkó, y Svoboda, el partido nacionalista originario de las regiones del Oeste que está fortaleciéndose a ojos vistas en Kiev............................http://internacional.elpais.com/internacional/2013/12/01/actualidad/1385902447_107355.html
1/12/13
Protests Swell in Ukraine, Rioters Clash With Police....
ReplyDeleteKIEV, December 1 (RIA Novosti) – Police and protesters engaged in running street battles Sunday in front of Ukraine’s presidential administration in the capital as anger grows at a government decision to pull back from signing a deal for closer relations with the EU.
Nearby in the Ukrainian capital, Kiev, hundreds of thousands of people, many of them waving national flags, gathered in a separate peaceful demonstration on Independence Square.
Discontent at the reversal over the conclusion of a series of EU deals that had been due to be signed last week is increasingly escalating into calls for the resignation of President Viktor Yanukovych.
Protests have been taking place for more than a week in Kiev, but took a sour turn Saturday morning when police violently cleared Independence Square, which served as the focal point of the Orange Revolution in the winter of 2004.
The violence continued for a second day running Sunday as a group of people attempted to storm the presidential administration building.
A group of protesters used a bulldozer to break through police cordons surrounding the presidential administration.
Opposition deputies arrived at the scene and appealed to people not to storm the building after protesters threw rocks at police, who responded by deploying tear gas and stun grenades.
Government opponent and businessman Petro Poroshenko said the people attempting to storm the presidential administration had nothing to do with the broader protest movement and called their actions a provocation.
The Interior Ministry said 100 officers had been injured in the clashes. Officials had said earlier in the day that two policemen were injured by the bulldozer. The city government said 22 protesters had sought treatment for injuries sustained during clashes...............http://en.ria.ru/world/20131201/185193926/Activists-Storm-Buildings-in-Kiev-as-Protest-Movement-Grows.html
1/12/13
Ukraine: des échauffourées entre manifestants et police à Kiev...
ReplyDeleteLes pro-européens qui se sont rassemblés, malgré l'interdiction des autorités, au centre de Kiev ont commencé des jets de grosses pierre et de pavés en direction des policiers chargés de protéger le bâtiment de l'administration présidentielle, rapporte dimanche un correspondant de RIA Novosti sur place.
Selon lui, la police riposte par des gaz lacrymogènes.
Deux députés de l'opposition Alexandra Koujel et Piotr Porochenko sont arrivés sur place pour exhorter les manifestants à arrêter les violences et à ne pas prendre d'assaut le bâtiment.
Aucune victime n'est signalée pour le moment.
http://fr.ria.ru/world/20131201/199914772.html
1/12/13