The ministry said Moscow condemns the "criminal attack" on the Russian diplomatic mission.
"At 09:00 a.m. on September 20, a mortar shell hit the territory of the Russian embassy in Damascus. The shell was driven deep into the earth and made no damage," the ministry said. "A large labelled fragment of the shell was later extracted from the earth by Syrian mine clearance specialists. Efforts are now being taken to find out how this shell came across to militants."
"We condemn the criminal attack on the Russian diplomatic representation in Damascus," the ministry stressed. "We expect a clear position over this terrorist attack from all members of the international community, including regional parties."
"But not mere words but concrete actions are actually needed," the Russian foreign ministry said. "The mortar shell was fired at the Russian embassy from the Jobar district, a stronghold of anti-government gunmen. They claim they don’t belong to the Islamic State [a terrorist organization outlawed in Russia - TASS], but have foreign sponsors who bear responsibility to exert influence on illegal armed groups."
[tass.ru]
21/9/15
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Le 20 septembre, aux environs de 9 heures du matin, l'ambassade de Russie à Damas a été attaquée au mortier, a annoncé lundi le ministère russe des Affaires étrangères dans un communiqué....
ReplyDeleteSelon le document, "un obus est tombé dans la cour de la mission diplomatique et s'est planté dans le sol, sans causer de dégâts".
"Un gros fragment de l'obus portant la marque de son fabricant a plus tard été extraite par les sapeurs syriens appelés sur le lieu de l'incident. Une enquête a été ouverte pour établir comment l'obus s'était retrouvé entre les mains des terroristes", lit-on dans le communiqué.
"Nous condamnons résolument cette attaque criminelle contre la mission diplomatique russe à Damas. Nous espérons que tous les membres de la communauté internationale, y compris les acteurs régionaux, adopteront une position ferme sur cet attentat terroriste. Cela dit, nous attendons non seulement des paroles, mais aussi des actes concrets", indique le ministère des Affaires étrangères.
Selon le communiqué, l'attaque a été lancée depuis le quartier de Jobar, fief des rebelles antigouvernementaux. Ces derniers affirment ne pas faire partie de l'Etat islamique, mais ils ont des soutiens extérieurs qui assument l'entière responsabilité en termes d'influence exercée sur les formations armées illégales.
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