Saturday, October 26, 2013

Έκκληση της Αργεντινής στην αμερικανική δικαιοσύνη για το ζήτημα του χρέους της. -Fondos buitre.

Συνήγοροι του δημοσίου της Αργεντινής απηύθυναν έκκληση στο εφετείο της Νέας Υόρκης να αναστείλει  την εκτέλεση της απόφασής του που επιβάλει την άμεση καταβολή 1,33 δισεκατομμυρίων δολαρίων (963 εκατομμυρίων ευρώ) σε επενδυτικά ταμεία τα οποία είχαν αρνηθεί να δεχθούν την απόφαση της χώρας να μην πληρώσει μέρος του χρέους της το 2002. 
Το Μπουένος Άιρες ζήτησε από το Εφετείο της πολιτείας της Νέας Υόρκης να μην διατάξει την άμεση εκτέλεση της απόφασης έως ότου η υπόθεση να φθάσει στο Ανώτατο Δικαστήριο των ΗΠΑ. Η Αργεντινή η οποία έπειτα από χρόνια κακοδιαχείρισης της οικονομίας της προέβη σε μονομερή αναδιάρθρωση του δημοσίου χρέους το 2002 κατάφερε να εξασφαλίσει ένα κούρεμα περίπου 25% μέχρι το 2010. 



Ωστόσο δεν συμφώνησαν όλοι οι διεθνείς δανειστές με αποτέλεσμα επενδυτικοί οίκοι να προσφύγουν στη δικαιοσύνη ζητώντας την επιστροφή των χρημάτων τους. Από τότε η Αργεντινή βρίσκεται σε μια διαμάχη που ξεπερνά τη δεκαετία   Ομοσπονδιακό δικαστήριο της Νέας Υόρκης καθώς και ένα δευτεροβάθμιο αμερικανικό δικαστήριο έχουν αποφανθεί ότι η άρνηση της Αργεντινής να πληρώσει τους ομολογιούχους που δεν αντάλλαξαν τους τίτλους τους με νέο χρέος, ενώ την ίδια στιγμή συνέχισε να εξυπηρετεί κανονικά τα νέα ομόλογα, παραβίασε την υπόσχεση για ίση μεταχείριση όλων των πιστωτών.

Σε περίπτωση που η αμερικανική δικαιοσύνη επιβάλει άμεση εκτέλεση της ποινής η Αργεντινή θα μπορούσε να τεθεί και πάλι σε καθεστώς επιλεκτικής χρεοκοπίας και θα μπορούσε να αποτελέσει προηγούμενο για οποιαδήποτε άλλη χώρα στο μέλλον ζητήσει αναθεώρηση του χρέους της. 

protothema.gr
26/10/13
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ΣΧΕΤΙΚΑ-ΙΣΤΟΡΙΚΟ:


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ΣΧΕΤΙΚΑ2:(Αργεντινή και το "Libertad")

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Για μια χούφτα δολάρια... γκρέμισαν την Αργεντινή.

7 comments:

  1. Fondos buitre: Argentina rechazó el pedido de levantar la cautelar....

    El Gobierno declaró su "oposición" ante la Cámara de Apelaciones de Nueva York al pedido de levantar la medida cautelar que impide la aplicación de la sentencia contra el país y permite la normalidad de los pagos de deuda de la Argentina.

    Lo hizo a través de un escrito del funcionario Fabián Dall´O, jefe de Gabinete del Ministro de Economía, Hernán Lorenzino, quien el pasado viernes presentó ante la Cámara del Segundo Distrito de Nueva York una declaración jurada, a pedido de dicho tribunal.

    En nombre del gobierno argentino, Dall´O ratificó además que el país cumple con procesos y las sentencias de Estados Unidos, "en conformidad con lo declarado" en su oportunidad por otro funcionario del Ministerio, "Francisco Eggers, en la fecha de 16 noviembre de 2012".

    Eggers, el director de la Oficina Nacional de Crédito Público del Ministerio de Economía, había declarado en aquella oportunidad ante el juez Thomas Griesa que la Argentina cumple con la sentencia del fallo de marzo de 2012. Ahora, es ante una instancia superior.

    El texto de la carta, en conformidad con "el Título 28 del Código de los Estados Unidos §1756", sostiene: "Me encuentro familiarizado con los hechos del caso y presento esta declaración en nombre de la República en oposición a la moción de los demandantes para levantar el Stay, de fecha 15 de octubre de 2013"........http://www.telam.com.ar/notas/201310/38454-argentina-rechazo-el-pedido-de-los-fondos-buitre-de-levantar-la-medida-cautelar.html
    28/10/13

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  2. Griesa rechazó nuevos pedidos de un fondo buitre contra Argentina....

    El fondo buitre NML aseguraba que Argentina estaba violando la orden de no modificar los mecanismos de pago de los bonos del canje.

    El juez neoyorquino Thomas Griesa rechazó dos presentaciones formuladas por el fondo buitre NML, que aseguraba que Argentina estaba violando la orden de no
    modificar los mecanismos de pago de los bonos del canje.

    Así lo informó el Ministerio de Economía a través del subsecretario Legal de la cartera, Matías Isasa, quien reveló que Griessa presidió una audiencia pública en el marco de la causa "pari passu", que fue apelada por el Gobierno ante la Corte Suprema.

    El encuentro fue solicitado por NML para que la justicia considere que Argentina "violó la obligación de no modificar las condiciones de pago de la deuda reestructurada y, por tal razón, someterla a producción de prueba discovery- y exigir una declaración testimonial" del ministro de Economía, Hernán
    Lorenzino.

    Esta consideración fue rechazada por Griesa, cuyo pronunciamiento es además complementario a una medida judicial aplicada acerca del pedido de los fondos buitre respecto al levantamiento de la suspensión de la aplicación de la orden de pari passu.

    Isasa aseguro que el equipo de trabajo que lidera Lorenzino "sigue concentrando los esfuerzos en las defensas que quedan por delante, como el recurso de
    reconsideración del 'en banc' y, eventualmente, consolidar una fuerte defensa ante la Corte Suprema" estadounidense.
    http://www.ieco.clarin.com/economia/Griesa-rechazo-pedidos-buitre-Argentina_0_1030097519.html
    15/11/13

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  3. Argentine contre Fonds Vautours : la Cour Suprême US se penchera sur le sujet....

    Une étape positive a été franchie dans le différend qui oppose l’Argentine aux Fonds Vautours qui l’ont assignée en justice (voir El Correo du 13 octobre 2013). La Cour Suprême des Etats-Unis a accepté, il y a quelques jours, à la demande de l’Argentine, d’examiner le jugement de la Cour d’appel de New-York autorisant les Fonds Vautours, notamment NML Capital de Paul Singer à enquêter sur les actifs et les comptes du pays à l’extérieur de ses frontières afin de les mettre sous embargos.

    Pour mémoire, il s’agit d’un dossier annexe au dossier principal concernant le remboursement des titres détenus par les Fonds Vautours à 100% de leur valeur pour un montant de 1.5 milliard de dollars, en dehors des conditions d’échange acceptées par 93 % des créanciers lors de la restructuration de la dette. Ce qui serait lourd de conséquence pour la finance internationale (voir El Correo du 15 septembre 2013 ), et jetterait l’Argentine dans une situation délicate.

    La décision de la Cour Suprême d’examiner la requête argentine, même si elle ne porte pas sur la question de l’égalité de traitement entre créanciers demeure toutefois un signal positif dans ce long feuilleton à l’issue délicate.

    Pour mémoire, le département de justice des Etats-Unis avait présenté un document mettant en question le jugement rendu par la Cour d’appel estimant qu’il était source de préoccupations significatives pour la politique étrangère des Etats-Unis. Dans la procédure d’« amicus curiae », l’administration des Etats-Unis considérait que l’autorisation d’accès aux données concernant les actifs de l’Argentine a été validée de façon erronée dans le jugement rendu à New-York, et contraire à la loi sur la souveraineté, et estimait que la requête de l’Argentine devait être étudiée.

    Reste qu’il doit être bien clair que ni le soutien de l’administration Obama, ni même la décision éventuellement positive de la Cour Suprême sur ce point, n’interviennent directement sur l’affaire principale qui est le remboursement des Fonds Vautours aux conditions qu’ils exigent. Même si dans le texte du « amicus curiae » présenté par les Etats- Unis, il était rappelé que le tribunal a ignoré les analyses concernant « la clause de pari passu » et que certaines mesures pourraient avoir des conséquences sur les solutions de résolution de crise de dette souveraine dans le monde.
    Une solution alternative

    Le gouvernement argentin doit présenter entre février et avril prochains sa demande de révision sur le dossier principal. En attendant ou plutôt sans attendre que la justice étasunienne ne tranche ces différends, un regroupement de grands fonds internationaux détenteurs d’une grande partie de la dette argentine, mené par Gramercy et Finetech, -voyant que tout le monde pourrait être perdant dans l’affaire si les Fonds Vautours avaient gain de cause sur le plan juridique- travaille à une proposition alternative afin que les Fonds Vautours rejoignent le processus d’échange qui regroupe 93% des créanciers, et du coup abandonnent leurs poursuites contre l’Argentine.......http://www.elcorreo.eu.org/Argentine-contre-Fonds-Vautours-la-Cour-Supreme-US-se-penchera-sur-le-sujet?lang=fr
    14/1/14

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    1. Fonds Vautours : L’Argentine devant la Cour Suprême US.....

      Le 17 février prochain l’Argentine déposera son recours devant la Cour Suprême des Etats-Unis concernant le différend qui l’oppose aux Fonds Vautours. La Cour Suprême avait en effet, il y a plusieurs semaines, accepté d’examiner le jugement de la Cour d’appel de New-York qui autorise les Fonds Vautours, notamment NML Capital de Paul Singer à enquêter sur les actifs et les comptes du pays à l’extérieur de ses frontières afin de les mettre sous embargos. Voir El Correo du 14 janvier 2014

      Pour mémoire, il s’agit d’un dossier annexe au dossier principal concernant le remboursement des titres détenus par les Fonds Vautours à 100% de leur valeur pour un montant de 1.5 milliard de dollars, en dehors des conditions d’échange acceptées par 93 % des créanciers lors de la restructuration de la dette. Ce qui serait lourd de conséquence pour la finance internationale (El Correo du 15 septembre 2013 ), et jetterait l’Argentine dans une situation délicate. Le Tribunal d’instance avait validé le 23 aout dernier le jugement du juge Thomas Griesa donnant suite aux revendications des Fonds Vautours, ordonnant le paiement des titres détenus de façon immédiate et préalablement aux autres créanciers, alors que les dits Fonds Vautours ont refusé d’entrer dans l’échange négocié par l’Argentine de restructuration de la dette qui concerne 93% des créanciers. La décision du juge Griesa qui a été confirmée par la Cour d’Appel introduirait un traitement inéquitable entre créanciers, et remettrait en question la validité des accords de restructurations de dette souveraine, créant ainsi un dangereux précédent que de nombreux observateurs dénoncent.

      Le fait que la Cour Suprême examine la requête argentine, même si elle ne porte pas sur la question de l’égalité de traitement entre créanciers demeure toutefois un signal positif dans ce long feuilleton à l’issue délicate. L’Argentine sera représentée par l’avocat Paul Clément, ancien Procureur General de Etats-Unis sous l’administration bush, qui connaît bien les rouages de la haute juridiction.

      Néanmoins, il semble difficile que la décision du juge Griesa soit entièrement démentie, toutefois le mode de paiement des titres détenus par les Fonds Vautours- à travers la saisie des actifs et des comptes situés hors de l’Argentine- peut être remis en question afin de ne pas violer la loi sur la souveraineté..................http://www.elcorreo.eu.org/Fonds-Vautours-L-Argentine-devant-la-Cour-Supreme-US?lang=fr
      12/2/14

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  4. Con un nuevo abogado, Argentina apela mañana ante la Corte Suprema de EE.UU....

    El Gobierno argentino presentará su segunda apelación ante la Corte Suprema el lunes, luego de haber dado un giro hacia la ortodoxia económica y con una estrella de la comunidad jurídica de Washington, Paul Clement, como el nuevo líder de su equipo de abogados. ¿Aumentará todo esto la posibilidad de que la Corte acepte escuchar el caso?

    En Washington y en Wall Street aprecian los pasos que el Gobierno dio para normalizar las relaciones con la comunidad financiera internacional y con el Fondo Monetario Internacional: el pago de los fallos perdidos ante empresas en el Ciadi, el tribunal internacional del Banco Mundial; las negociaciones con Repsol por la expropiación de YPF; la propuesta para regularizar la deuda con el Club de París; y la presentación del nuevo índice de precios. Pero la desconfianza persiste. Y el lobby de los fondos buitre sigue muy activo en el Congreso.

    Esta semana, el diputado demócrata Henry Cuellar se sumó a dos republicanos, Mario Díaz Balart y Charlie Dent, al enviarle una carta al secretario John Kerry urgiéndolo a que no apoye la apelación de la Argentina. De acuerdo con Cuellar, Argentina renunció a su inmunidad jurídica en la corte de Nueva York. “La posición del Departamento de Estado sobre la inmunidad soberana en lo relacionado con Argentina no es válida como un argumento legal, y usted tiene que considerar el impacto político”.

    De hecho, ya en dos ocasiones Estados Unidos apoyó a la Argentina ante las cortes de Nueva York argumentando, entre otras cosas, que el fallo que obliga a la Argentina a pagarle a los fondos buitre –al mismo tiempo que a los tenedores de bonos reestructurados– viola el acta de inmunidad de los países soberanos.

    Este es el tema que más interesa a la Corte Suprema. Pero dado que no hubo ninguna contradicción en los fallos establecidos por las cortes negando la violación de esta ley, no hay que descartar que la Corte norteamericana rechace el caso. Mucho depende de la habilidad de Paul Clement................http://www.clarin.com/politica/abogado-Argentina-Corte-Suprema-EEUU_0_1085891464.html
    17/2/14

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  5. Fondos buitre: en EE.UU. preguntan si Argentina podrá evitar otro default.....

    Por Ana Baron
    Es una posibilidad si la Corte de Estados Unidos rechaza el pedido argentino y ordena pagarles a esos fondos.

    A la espera de la apelación que Argentina que presentará hoy ante la Corte Suprema de EE.UU, el interrogante principal es si el Gobierno argentino logrará o no evitar un nuevo default.

    En la apelación, los abogados de Argentina liderados por el gran especialista Paul Clement, le pedirán a la Corte Suprema que revierta el fallo que obliga a nuestro país a pagarle a los fondos buitre al mismo tiempo que le paga a los tenedores de bonos reestructurados. Si este fallo fuese ratificado, y el gobierno insiste en no cumplirlo como lo anunció el año pasado, Argentina caerá en default.

    Nadie sabe realmente lo que puede pasar. Pero hay tres escenarios posibles. La Corte puede rechazar la apelación argentina de plano, puede admitirla o puede postergar su decisión pidiéndole la opinión al gobierno de Obama a través del Procurador General Donald Verrilli.

    Si la Corte rechaza de plano la apelación, inmediatamente entrará en vigor el fallo en cuestión y si Argentina se niega a pagarle a los fondos buitres, tampoco podrá pagarles a los tenedores de bonos reestructurados, ya que todo banco que intente ayudarla a hacerlo corre el peligro de ser sancionado.

    Entonces caerá en default. Este es el escenario mas negativo.

    Si la Corte le pide la opinión al procurador general de EE.UU. o acepta la apelación argentina, continua la suspensión de la ejecución del fallo hasta que haya un veredicto. Es decir la amenaza de default queda en suspenso por , al menos, un año mas.

    Mas allá de estos escenarios, hay quienes piensan, sin embargo, que Argentina podría evitar el default sellando un acuerdo extrajudicial con los fondos buitres a través de fondos intermediarios. Hay actualmente dos propuestas en este sentido.

    La llamada solución Gramercy consiste en ceder una parte de los pagos futuros de los tenedores que ingresaron en el canje a los fondos buitres que no reestructuraron sus bonos a cambio de que levanten los juicios lo que evitaría que el pais caiga en default.

    De acuerdo a esta propuesta fondos como Gramercy Fintech y otros cederían alrededor de un 20% de los pagos que deben recibir en los próximos 5 años lo que aumentaría en unos 1.000 millones de dólares la oferta oficial de reapertura del canje y haría la oferta mas atractiva para los fondos buitres.

    Esta propuesta ya ha sido rechazada por Paul Singer de NML, el fondo que lidera la ofensiva judicial en contra de la Argentina. Singer calificó recientemente a esta propuesta de “extraña” y de “truco”.

    Hay también una propuesta de Eugenio Bruno para hacer una reestructuración de la deuda en default con quita a través de un canje por nuevos bonos con vencimientos de largo plazo. Esta propuesta prevé que si se realiza el canje, el gobierno argentino accede a dinero fresco por unos US$ 10.000 millones para inversiones en infraestrcutura, energía y subir reservas.

    La pregunta es por qué NML que viene litigando desde hace 10 años aceptará una quita puede obtener un fallo en su favor. En su apelación Argentina argumentará que el fallo de la Cámara de Apelaciones viola el Acta de Inmunidades de soberanos extranjeros y que es inequitativa. Pero ambos argumentos ya fueron rechazados por la Cámara de Apelaciones.
    http://www.clarin.com/politica/Fondos-EEUU-preguntan-Argentina-default_0_1087091293.html
    18/2/14

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  6. EE.UU. hablará a favor de Argentina en un juicio iniciado por fondos buitre...

    En la larga y sinuosa pelea entre Argentina y los fondos buitre, el Gobierno argentino logró una importante victoria, o al menos un round a favor. La Corte Suprema de Justicia de los Estados Unidos dio permiso ayer para que el procurador General del gobierno de Barack Obama, Donald Verrilli, intervenga durante la audiencia en la que analizará el lunes, en Washington, si los denominados fondos buitre tiene derecho a pedirle a los bancos información sobre los activos que Argentina tiene en el exterior.

    La intervención de Verrilli –o de uno de sus abogados– será clave. Habiendo presentado dos amicus curiae en favor de la Argentina, sus argumentos orales no harán otra cosa que reforzar lo ya escrito.

    El caso que la Corte Suprema analizará el lunes, el llamado en ingles “discovery case” no es el caso principal, es decir el que trata la cuestión de fondo. Pero todos los expertos coinciden al afirmar que a través de las preguntas que los jueces les harán a las partes el lunes, se podrá determinar mejor cuán interesados están en darle lugar o no al caso principal, el llamado “parí passu case” (el que les permitiría a los fondos buitre cobrarle a la Argentina todo lo que reclaman de una sola vez) que todavía está pendiente. Esto significa que la audiencia del lunes será un buen termómetro para medir cuál puede ser el desenlace final...............http://www.clarin.com/politica/EEUU-hablara-Argentina-iniciado-fondos_0_1123087748.html
    20/4/14

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