Thursday, November 7, 2013

Iran offered temporary relief from some sanctions if it freezes uranium enrichment...

By Joby Warrick Negotiations on Iran’s nuclear program entered a critical stage Thursday as diplomats weighed a possible interim deal in which Tehran would temporarily freeze its uranium enrichment in return for modest relief on economic sanctions. 

Talks between Iran and six world powers resumed in Geneva amid indications that an agreement could be possible on what U.S. officials have described as a “first step” toward a more comprehensive pact restricting Tehran’s future ability to seek atomic weapons.



Although Iran has not yet responded publicly to the freeze proposal, its chief negotiator said the sides were “making progress,” while acknowledging that the discussions were “tough.”
“I’m hopeful that we can move forward,” Iranian Foreign Minister Mohammad Javad Zarif told reporters after the two-day meeting got underway in Geneva. A European Union official present at the session said the talks were “entering a serious phase.”
A proposal formally presented to Iran on Thursday would require the country to suspend its production of enriched uranium and agree to additional curbs, concessions that would be rewarded with a modest, temporary easing of financial sanctions, according to a senior U.S. official knowledgeable about the plan.
The proposed freeze, if accepted, would be the first stage in a multiple-step process that could culminate in an agreement early next year on permanent limits to Iran’s ability to produce the components of a nuclear bomb, the official said.
“What we’re looking for now is a first phase, a first step, an initial understanding that stops Iran’s nuclear program from moving forward for the first time in decades, and that potentially rolls part of it back,” said the U.S. official in a briefing to journalists .
The official, who spoke on the condition of anonymity to discuss sensitive diplomacy, said the United States and its allies were looking to “put time on the clock” by ensuring that Iran’s nuclear program does not advance while the negotiations are going on.
The White House is under pressure to show substantial progress during this round of talks, as skeptics in Congress have threatened to impose harsh new financial sanctions on Iran even as the negotiations are underway. Administration officials met with key lawmakers last week, urging them to delay any decisions on new sanctions until the first of the year.
The U.S. official in Geneva said an Iranian agreement to freeze its nuclear program would result in “limited, targeted and reversible” relief on some economic sanctions, for a period of perhaps six months. The easing of sanctions would be reversed if Iran failed to honor its commitments, or if there was no progress in the effort to achieve a broader nuclear agreement. The toughest sanctions affecting Iran’s banking sector and oil exports would not be lifted until the final stage of the process, Western officials said........http://www.washingtonpost.com/world/national-security/iran-offered-temporary-relief-from-some-sanctions-if-it-freezes-uranium-production/2013/11/07/258b1e32-47aa-11e3-b6f8-3782ff6cb769_story.html
7/11/13
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2 comments:

  1. Iran-Six: seul le problème nucléaire à l'ordre du jour (Téhéran)...

    L'Iran est prêt à discuter de son programme nucléaire lors de rencontres bilatérales avec les membres du groupe des "5+1", a annoncé jeudi le vice-ministre iranien des Affaires étrangères Abbas Araghchi à l'issue de la première session d'une rencontre à Genève.

    "Il y aura des rencontres bilatérales avec les participants aux négociations, notamment avec la chef de la diplomatie européenne Catherine Ashton, les délégations des Etats-Unis, de la Russie et de la Chine. Il ne s'agira que du programme nucléaire du pays. Nous n'avons pas d'autres instructions", a déclaré M.Araghchi.

    Et d'ajouter que les parties se trouvaient à une étape difficile des négociations et qu'il faudrait beaucoup de temps pour parvenir à une décision concertée.

    L'Iran est persuadé que la communauté internationale doit reconnaître son droit à l'enrichissement d'uranium, mais certains pays occidentaux, notamment les Etats-Unis, ne l'acceptent pas. Téhéran se déclare prêt à réfléchir à une suspension de l'enrichissement d'uranium, à une réduction du nombre de centrifugeuses et à la signature d'un protocole supplémentaire sur des garanties avec l'Agence internationale de l'énergie atomique (AIEA) en échange de la levée des sanctions bancaires et pétrolières.

    Le groupe "5+1" des médiateurs internationaux sur le dossier nucléaire iranien sont les cinq membres permanents du Conseil de sécurité de l'Onu, soit les Etats-Unis, la France, la Grande-Bretagne, la Russie et la Chine plus l'Allemagne.

    L'Iran et les Six tiennent les 7 et 8 novembre à Genève une nouvelle rencontre qui intervient près de 20 jours après la réunion précédente, au cours de laquelle Téhéran a présenté son nouveau plan de résolution du problème nucléaire. Les détails de cette stratégie en trois étapes n'ont pas été rendus publics, mais on sait que ses aspects techniques seront cette fois débattus.

    Les Etats-Unis et d'autres pays occidentaux soupçonnent l'Iran de vouloir se doter de l'arme nucléaire, ce que Téhéran dément formellement. L'Iran reconnaît enrichir de l'uranium à 20%, mais affirme que ses activités nucléaires ont pour seul objectif de satisfaire les besoins du pays en électricité.
    http://fr.ria.ru/world/20131107/199739215.html
    7/11/13

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  2. Nucléaire: un accord avec l'Iran serait une erreur historique (Netanyahu)....

    Le premier ministre israélien Benjamin Netanyahu a qualifié d'"inacceptables" les propositions examinées à Genève lors des négociations sur le problème nucléaire iranien, et déclaré que leur acceptation par la communauté internationale serait une "erreur aux proportions historiques".

    "Si ces propositions sont acceptées, ce serait une erreur aux proportions historiques. Il fait les rejeter d'emblée", a indiqué jeudi M. Netanyahu dans son discours prononcé à Jérusalem.

    Selon le premier ministre, "les propositions mises sur la table des négociations de Genève affaiblissent la pression exercée sur Téhéran", car elles "permettent à l'Iran de conserver ses ressources pour la production de l'arme nucléaire".

    Cette déclaration a été faite le jour du début d'un nouveau round de négociations entre l'Iran et les six médiateurs internationaux sur le dossier nucléaire iranien (Russie, Etats-Unis, France, Grande-Bretagne, Chine et Allemagne) et au lendemain d'une rencontre entre M. Netanyahu et le chef de la diplomatie américaine John Kerry.

    Le premier ministre est persuadé que les Six sont en mesure d'amener l'Iran à abandonner complètement son programme nucléaire.

    Il s'agit de contraindre l'Iran "à renoncer totalement à l'enrichissement d'uranium et à suspendre tous les travaux sur le réacteur à eau lourde. Tout le reste réduirait la possibilité d'une solution pacifique", a martelé le chef du gouvernement israélien avant de rappeler que l'Etat hébreu se réservait le droit de "se protéger seul contre toute menace".

    Les dirigeants israéliens considèrent la volonté de Téhéran de signer un compromis comme un subterfuge destiné à affaiblir les sanctions internationales et à gagner du temps pour achever son programme nucléaire militaire, programme dont l'Iran nie catégoriquement l'existence.
    http://fr.ria.ru/world/20131107/199740172.html
    7/11/13

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