Following a meeting on Thursday evening with U.S. Secretary of State John Kerry in the West Bank city of Ramallah, “President Abbas has rejected the ideas presented by the secretary of state,” AFP quoted the source as saying.
Abbas also gave Kerry a letter laying out “Palestinian red lines,” the source added.
However, no public details were released on the content of the Kerry-Abbas meeting, which took place immediately after Kerry’s arrival in the region.
Kerry had to amend his plans to travel from Jerusalem to Jordan amid fierce snowfall and rain storms, opting instead to head later straight to his next stop, Vietnam.
“I’m delighted to be here. I’m on my way to Asia, heading to Vietnam and the Philippines, which is a long-promised trip,” Kerry told reporters as he went into his talks with Israeli Prime Minister Benjamin Netanyahu.
It was Kerry’s ninth trip to Israel and the West Bank since March, and his second in less than a week.
http://english.alarabiya.net/en/News/middle-east/2013/12/13/Abbas-rejects-U-S-plan-for-Israeli-troops.html
13/12/13
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- Kerry se heurte au refus palestinien d'une présence militaire d'Israël
Le chef de la diplomatie américaine a
rencontré dans la matinée le Premier ministre israélien Benjamin
Netanyahu à Jérusalem, sous un épais manteau de neige.
Le ministre israélien de la Défense, Moshé Yaalon, qui devait participer aux entretiens, en a été empêché par les conditions météorologiques, selon son porte-parole.
"J'ai voulu revenir ici afin de tenter de poursuivre nos importantes discussions", a expliqué M. Kerry, dont c'est le deuxième voyage dans la région en une semaine, avant de repartir pour l'aéroport de Tel-Aviv, en direction de l'Asie du Sud-Est.
"C'est constructif. Mais c'est toujours compliqué", a-t-il reconnu. "Nous avons beaucoup de choses à discuter et nous allons continuer ce processus", a-t-il promis avant l'entretien.
Lors d'une rencontre jeudi soir à Ramallah (Cisjordanie), Mahmoud Abbas lui a signifié son rejet d'une prolongation de la présence militaire israélienne en Cisjordanie après un accord de paix, selon une source palestinienne proche du dossier.
"Le président Abbas a rejeté les idées présentées par le secrétaire d'Etat Kerry à cause de la présence de l'armée israélienne", selon cette source.
M. Abbas a "remis une lettre (à M. Kerry) exposant les positions palestiniennes et fixant les lignes rouges pour les Palestiniens", selon la même source, précisant que M. Kerry s'était dit prêt à revenir dans la région la semaine prochaine.
Le président palestinien a insisté sur la "nécessité de régler toutes les questions" du conflit, exprimant son scepticisme face à l'accord-cadre sans calendrier qu'envisagerait l'administration américaine, a souligné cette source.
Patrouilles israélo-palestiniennes
Selon les médias arabes et israéliens, les Etats-Unis ont proposé un maintien de soldats israéliens aux frontières entre la Cisjordanie et la Jordanie pendant 10 ou 15 ans après la signature d'un traité de paix et prépareraient un "accord-cadre" traçant les grandes lignes d'un règlement final.
Selon le quotidien panarabe Al-Quds al-Arabi, le plan américain prévoit également des stations d'alerte israéliennes sur les hauteurs de Cisjordanie, le droit pour Israël de refuser l'entrée de voyageurs par la frontière palestino-jordanienne et des patrouilles conjointes israélo-palestiniennes le long du Jourdain.
Le département d'Etat a réaffirmé tout au long de la semaine que le but était de parvenir, dans le délai de neuf mois imparti à ces négociations relancées fin juillet, à "un accord final" et non pas un nouveau "règlement transitoire".
M. Netanyahu exige qu'un Etat palestinien soit démilitarisé et qu'Israël puisse y garder sur le long terme des troupes dans la vallée du Jourdain.
Les Palestiniens acceptent uniquement une force internationale, une option rejetée par Israël qui insiste pour pouvoir "se défendre lui-même par lui-même".
Dans une tribune publiée jeudi, l'ancien conseiller à la sécurité nationale israélien, le général de réserve Giora Eiland, explique que "du point de vue d'Israël, le risque de céder des territoires en Judée-Samarie (Cisjordanie, NDLR) ne vient pas nécessairement de la menace présentée par les Palestiniens mais par d'autres ennemis" dans la région.
"Israël insiste pour avoir un contrôle contigu tout le long du Jourdain et il semble que les Américains l'acceptent", écrit-il, considérant que pour contrôler effectivement la frontière palestino-jordanienne, son armée aura besoin d'une bande de 5 km de large dans la vallée, une exigence exorbitante pour les dirigeants palestiniens.
Le président américain Barack Obama a prévenu le 7 décembre que les Palestiniens devraient accepter une "période de transition" après la signature d'un accord de paix.
AFP
http://www.rtbf.be/info/monde/detail_kerry-se-heurte-au-refus-palestinien-d-une-presence-militaire-d-israel?id=8157029
13/12/13
Le ministre israélien de la Défense, Moshé Yaalon, qui devait participer aux entretiens, en a été empêché par les conditions météorologiques, selon son porte-parole.
"J'ai voulu revenir ici afin de tenter de poursuivre nos importantes discussions", a expliqué M. Kerry, dont c'est le deuxième voyage dans la région en une semaine, avant de repartir pour l'aéroport de Tel-Aviv, en direction de l'Asie du Sud-Est.
"C'est constructif. Mais c'est toujours compliqué", a-t-il reconnu. "Nous avons beaucoup de choses à discuter et nous allons continuer ce processus", a-t-il promis avant l'entretien.
Lors d'une rencontre jeudi soir à Ramallah (Cisjordanie), Mahmoud Abbas lui a signifié son rejet d'une prolongation de la présence militaire israélienne en Cisjordanie après un accord de paix, selon une source palestinienne proche du dossier.
"Le président Abbas a rejeté les idées présentées par le secrétaire d'Etat Kerry à cause de la présence de l'armée israélienne", selon cette source.
M. Abbas a "remis une lettre (à M. Kerry) exposant les positions palestiniennes et fixant les lignes rouges pour les Palestiniens", selon la même source, précisant que M. Kerry s'était dit prêt à revenir dans la région la semaine prochaine.
Le président palestinien a insisté sur la "nécessité de régler toutes les questions" du conflit, exprimant son scepticisme face à l'accord-cadre sans calendrier qu'envisagerait l'administration américaine, a souligné cette source.
Patrouilles israélo-palestiniennes
Selon les médias arabes et israéliens, les Etats-Unis ont proposé un maintien de soldats israéliens aux frontières entre la Cisjordanie et la Jordanie pendant 10 ou 15 ans après la signature d'un traité de paix et prépareraient un "accord-cadre" traçant les grandes lignes d'un règlement final.
Selon le quotidien panarabe Al-Quds al-Arabi, le plan américain prévoit également des stations d'alerte israéliennes sur les hauteurs de Cisjordanie, le droit pour Israël de refuser l'entrée de voyageurs par la frontière palestino-jordanienne et des patrouilles conjointes israélo-palestiniennes le long du Jourdain.
Le département d'Etat a réaffirmé tout au long de la semaine que le but était de parvenir, dans le délai de neuf mois imparti à ces négociations relancées fin juillet, à "un accord final" et non pas un nouveau "règlement transitoire".
M. Netanyahu exige qu'un Etat palestinien soit démilitarisé et qu'Israël puisse y garder sur le long terme des troupes dans la vallée du Jourdain.
Les Palestiniens acceptent uniquement une force internationale, une option rejetée par Israël qui insiste pour pouvoir "se défendre lui-même par lui-même".
Dans une tribune publiée jeudi, l'ancien conseiller à la sécurité nationale israélien, le général de réserve Giora Eiland, explique que "du point de vue d'Israël, le risque de céder des territoires en Judée-Samarie (Cisjordanie, NDLR) ne vient pas nécessairement de la menace présentée par les Palestiniens mais par d'autres ennemis" dans la région.
"Israël insiste pour avoir un contrôle contigu tout le long du Jourdain et il semble que les Américains l'acceptent", écrit-il, considérant que pour contrôler effectivement la frontière palestino-jordanienne, son armée aura besoin d'une bande de 5 km de large dans la vallée, une exigence exorbitante pour les dirigeants palestiniens.
Le président américain Barack Obama a prévenu le 7 décembre que les Palestiniens devraient accepter une "période de transition" après la signature d'un accord de paix.
AFP
http://www.rtbf.be/info/monde/detail_kerry-se-heurte-au-refus-palestinien-d-une-presence-militaire-d-israel?id=8157029
13/12/13
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Kerry: Mideast peace deal possible by April....
ReplyDeleteU.S. Secretary of State John Kerry said on Friday Israelis and Palestinians were committed to peace talks, as a full deal could be reached by April.
Kerry, speaking at the end of his second visit to the region in just a week said the two sides were discussing a framework for a final-status accord to resolve the core issues at the heart of the decades-old conflict.
“Both parties remain committed to fulfilling their obligations to stay at the table and negotiate hard during the nine-month period that we set for that,” Kerry said after separate talks with Palestinian and Israeli leaders, according to Reuters.
“We’re not talking at this point about any shifts (in the schedule),” he said, dismissing the pessimistic assessments from both sides on progress in the negotiations brokered by the U.S. which resumed in July after a three-year pause.
The Secretary of State wants the two camps to accept a so-called framework accord that will touch on all the main issues, such as security, the future of Jerusalem and the fate of refugees, and serve as a broad outline for the final deal.
But Palestinians fear such a preliminary agreement could serve to delay once again their hopes of establishing an independent state in the West Bank, Gaza Strip and East Jerusalem a land the Israelis seized in the 1967 war.
Kerry said his talks over the past two days had focused on security, with retired U.S. General John Allen joining him for the discussions with Palestinian President Mahmoud Abbas, Reuters reported.
Israel says its troops have to remain for the next 10 years in the Jordan Valley - along the eastern border of any new Palestinian state to prevent arms and militants from entering the West Bank and launching attacks. Abbas has rejected the idea, but said he would accept seeing U.S. troops deployed along the border.
“We are working on an approach that both guarantees Israel’s security and fully respects Palestinian sovereignty,” Kerry was quoted as saying by Reuters.
Palestinian negotiator Saeb Erekat said after the top U.S. diplomat’s visit “we want to achieve a peace based on Israel’s withdrawal from lands occupied in 1967,” according to Reuters.
“We won’t accept limiting Palestinian sovereignty over our land,” Erekat said in comments to Al Arabiya News channel.
Kerry has made nine visits to the region since taking office in February in campaign to gain momentum and bridge a vast gulf of mutual mistrust.
“We remain hopeful that we can achieve that final-status agreement. Why? Because we are absolutely confident ... that for both sides, and the region at large, peace can bring enormous benefits,” Kerry said, according to Reuters.
The Secretary of State left Israel later on Friday heading to Vietnam and the Philippines.
Last Update: Saturday, 14 December 2013 KSA 09:21 - GMT 06:21
http://english.alarabiya.net/en/News/middle-east/2013/12/14/Kerry-Mideast-peace-deal-possible-by-April.html
14/12/13
Arab League chief to recommend rejecting Kerry's security plan...
ReplyDeleteNabil al-Arabi expected to call on Arab foreign ministers convened in Cairo to side with Palestinian President Mahmoud Abbas.
Arab League chief Nabil al-Arabi is expected to recommend to Arab foreign ministers on Saturday to side with Palestinian President Mahmoud Abbas and reject the security plan presented by U.S. Secretary of State John Kerry as part of Israeli-Palestinian talks.
President Abbas arrived in Cairo on Saturday to attend the Arab League foreign ministers conference, convened per his request.
The position of the Arab League chief – based mainly on the Palestinian stance – holds that Kerry's plan is skewed in favor of Israel and secures prolonged Israeli military presence in the Jordan River Valley, while the Palestinian demands will only be addressed at a later stage. The Palestinian Authority is concerned that such an interim plan would in effect perpetuate the Israeli presence in the Jordan Valley, and is seeking the Arab League's support on this issue.
Implicit in al-Arabi's report is an accusation against the U.S. administration for backtracking on its previous commitments by adopting Israel's insistence on the security plan as a condition for the negotiations' progress.
During his visit in Cairo, Abbas will also meet with Egyptian top brass, including intelligence chiefs in charge of the reconciliation process between Fatah and Hamas.
The Palestinians argue that throughout all the negotiations conducted with Israel in the 20 years since Oslo was signed, the Jordan Valley was discussed in the context of security arrangements. But in the talks that began some four months ago, Israel started addressing this separately from the security issue. “Israel is doing all it can to lengthen the negotiations by bringing more and more clauses to the table, to cause a delay and to make the talks so cumbersome and complicated that they won’t produce any practical results,” a source told Haaretz..............http://www.haaretz.com/news/diplomacy-defense/1.564646
21/12/13
Israeli Air Force conducts aerial raids on Gaza...
ReplyDeleteOn Thursday, the Israel Air Force conducted attacks on two targets in the Gaza Strip, reported the Associated Press, citing a representative of the Israeli army.
He noted that the goal of the aerial raids was a location, where Palestinian militants manufactured weapons and also a warehouse where weapons were allegedly stored. The raids were conducted in response to missiles fired on the Israeli territory from the Gaza Strip. The Palestinian side noted that there are no causalities as a result of the Israeli aerial raids.
Read more: http://indian.ruvr.ru/news/2013_12_27/Israeli-Air-Force-conducts-aerial-raids-on-Gaza-1958/
27/12/13
In fiery speech, Abbas rejects Jerusalem concessions....
ReplyDeleteNo peace without a capital in East Jerusalem, PA president says; Palestinians ‘won’t kneel’ and recognize Israel as Jewish state.
Abbas’ unusually fiery speech highlighted the wide gaps between him and Israeli Prime Minister Benjamin Netanyahu on the outlines of a peace deal. It also raised new doubts about the chances of US Secretary of State John Kerry to bridge those gaps in coming weeks and come up with a framework for an agreement.
Abbas adopted tough positions in the wide-ranging speech, saying that “there will be no peace” without a Palestinian capital in east Jerusalem and that he would not recognize Israel as a Jewish state.
He also suggested he would not continue negotiations beyond a US-set target date of the end of April, and instead will resume his quest for broader international recognition of a state of Palestine by the United Nations and its various agencies.
Abbas and Netanyahu were far part apart in their positions when Kerry pressured them to resume talks in late July after a five-year break. It appears little progress has been made since then.
Kerry is expected to present his bridging proposals for a framework agreement in coming weeks. He was to meet this week with representatives of the Arab League, presumably to win their backing for US proposals, but it’s not clear when he would formally present his ideas to Abbas and Netanyahu.
Both leaders face tough decisions on whether to accept the US ideas and alienate their base or defy Kerry and risk being blamed for the collapse of the negotiations.
A US plan is expected to define Israel’s pre-1967 war frontier as the starting point for negotiations about the border between Israel and a future Palestinian state, with some adjustments.
The Palestinians want a state in the West Bank, Gaza and east Jerusalem, territories Israel captured in 1967, but are willing to swap some land to enable Israel to keep some of the dozens of Jewish settlements it has built on war-won land.
Netanyahu has not accepted the 1967 frontier as a baseline, at least in public. In recent days, Israeli media have quoted him as telling members of his Likud Party that he would not accept an inclusion of Jerusalem in Kerry’s proposals.
Abbas aides have said they fear Kerry will settle for a vague reference to Palestinian “aspirations” in the city, without referring to east Jerusalem as a capital.......In fiery speech, Abbas rejects Jerusalem concessions | The Times of Israel http://www.timesofisrael.com/in-fiery-speech-abbas-rejects-jerusalem-concessions/#ixzz2q7XzkhLa
11/1/14
Abbas says Israeli pullout over five years if NATO deploys: NYT...
ReplyDeletePalestinian president Mahmud Abbas would support a five-year Israeli withdrawal from the West Bank provided a NATO force is deployed to ensure security, the New York Times has reported.
Abbas, in an interview published by the paper on Sunday, shifted from his insistence on a three-year time frame for Israel's withdrawal from occupied territories under any future peace deal.
"At the end of five years my country will be clean of occupation," Abbas said, insisting however that NATO forces should be deployed during this period to undertake cross-border security and anti-terrorism duties.
"For a long time, and wherever they want, not only on the eastern borders, but also on the western borders, everywhere," NATO could be stationed, he said.............http://www.france24.com/en/20140203-abbas-says-israeli-pullout-over-five-years-nato-deploys-nyt/
3/1/14
Netanyahu: Abbas' refusal to recognize Israel as Jewish state is 'absurd'...
ReplyDeletePM urges those states who have 'pressured Israel' to similarly pressure the Palestinians, so that they understand the consequences of failed negotiations.
Prime Minister Benjamin Netanyahu said Monday that it is "absurd" to expect a peace deal with the Palestinians without the recognition of Israel as a Jewish state.............http://www.haaretz.com/news/diplomacy-defense/.premium-1.572186
3/1/14
Arab League backs Abbas' refusal to recognize Israel as Jewish state...
DeleteSenior Palestinian officials say they expect more messages in coming days that will bolster their position on core issues.
The Arab League on Sunday endorsed Palestinian President Mahmoud Abbas' rejection of Israel's demand for recognition as a Jewish state, as U.S.-backed peace talks approach a deadline at the end of next month.
The United States wants Abbas to make the concession as part of efforts to reach a "framework agreement" and extend the talks aimed at settling the decades-old Israeli-Palestinian conflict.
"The council of the Arab League confirms its support for the Palestinian leadership in its effort to end the Israeli occupation over Palestinian lands, and emphasizes its rejection of recognizing Israel as a 'Jewish state'," Arab foreign ministers said in a statement in Cairo......................http://www.haaretz.com/news/middle-east/1.578785
9/3/14
Pour M. Abbas, pas de poursuite des pourparlers sans gel de la colonisation....
ReplyDeleteLe président palestinien Mahmoud Abbas exige un gel de la colonisation juive et les libérations de prisonniers supplémentaires pour envisager une prolongation des négociations avec Israël au-delà de l'échéance de fin avril, a-t-on appris mardi de sources concordantes.
M. Abbas a exprimé cette position lundi soir lors d'une rencontre avec la chef du parti d'opposition de gauche israélien Meretz, Zehava Gal-On, peu après la publication de statistiques montrant que les mises en chantier dans les colonies juives de Cisjordanie occupée avaient plus que doublé en 2013.
"Nous ne pouvons pas continuer les négociations avec cette poursuite de la colonisation", a déclaré M. Abbas, cité par un membre du Comité central de son mouvement, le Fatah, Mohammad al-Madani..................http://www.rtbf.be/info/monde/detail_pour-m-abbas-pas-de-poursuite-des-pourparlers-sans-gel-de-la-colonisation?id=8215059
4/3/14
Netanyahu against Settlement Freeze as Condition to ‘Peace Talks’ ...
ReplyDeleteNetanyahu said that the suspension of settlement activities “would serve nothing.”
The comments come as US Secretary of State John Kerry, who is mediating the talks between the two sides, asked the negotiators to agree on a framework for extending the negotiations beyond an April 29 deadline.
Acting Palestinian Authority Chief Mahmoud Abbas said that prolonging the talks is possible only if Tel Aviv halts its illegal settlement expansion on the Palestinian land.
http://www.almanar.com.lb/english/adetails.php?eid=139666&cid=23&fromval=1
9/3/14